C’est ma lecture, sans équivoque, sur le conflit de travail au Journal de Montréal. Encore une fois confirmée.
Sur toutes les tribunes, les lock-outés (prononcé normalement et non pas, comme Vincent Gratton ce soir aux « ‘Squelettes », à la française) ne manquent aucune occasion de se moquer, d’insulter leur employeur et, plus grave encore, du produit qu’ils produisent normalement.
Plus grave car, sommes toutes, le JdeM d’avant et après n’a pas changé: un journal populiste, nationaliste, axé sur les chiens écrasés. Des chroniqueurs télé heureux de ne plus avoir à dire que les conneries de TVA sont des chefs d’oeuvres ne devraient plus vouloir retourner en faire.
À moins que leur salaire suffise à faire d’eux des véritables putes de l’information.