Quand j’étais plus jeune, je rêvais de devenir diplomate. J’ai donc étudié en relations internationales à l’UQAM – à moins que je n’aie été trop paresseux pour étudier le journalisme dans un programme contingenté afin de réaliser mon second rêve, travailler à Radio-Canada!
À l’hiver 2005, nous avions fait la grève pendant à peu près un mois. Et j’étais tellement « suiveux » que, même sans me reconnaitre dans les discours d’extrême-gauche de mes camarades de classe, j’ai levé ma main, j’ai fait des pancartes… Bon, j’étais jeune anyway 😛
Je me souviens par contre du boycott médiatique des extrémistes. Je me rappelle des médias hostiles et de la police qui sortait ses gros bras pour pas grand chose (mise en pratique d’un enseignement paternel: « la police aime beaucoup mieux écoeurer le vrai monde que les vrais criminels »).
Sept ans plus tard, ma mère considère encore que l’université devrait être gratuite parce que « l’on paie pour tellement de monde, c’est juste normal qu’ils paient pour toi – c’est une manière de nous dire merci! » mais, autrement, je vois des choses que je ne réussis pas totalement à m’expliquer.
Que s’est-il passé pour que pratiquement toute la meute journalistique québécoise ferme les yeux sur la violence commise par les anarco-communistes de la CLASSE? Il y a 7 ans, La Presse et Radio-Canada nous traitaient d’enfants gâtés, maintenant on embrasse la cause en ondes?
J’ai l’impression qu’un vent de fin de régime souffle sur le Québec. Comme en Grèce, tous ces gens s’allient parce qu’ils savent qu’ils sont les enfants privilégiés du Système, de l’État Obèse.
Et on serre les rangs parce que le gouffre approche!
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